Il photographie alors presque l’entièreté des objets de la trucothèque, pour ensuite les imprimer chacun individuellement, pour ensuite les fusionner à l’aide d’un solvant chimique relativement puissant.
Une image imprimée se décolle partiellement pour venir se déposer sur un autre papier. Plusieurs images fusionnent. On découvre dans ce travail des strates temporelles possibles, un assemblage d’appareils et de machines. Des objets produits dans le chaos de la société de consommation, destinés à être détruits, dans associations parfois absurdes, parfois utiles, qui circulent dans de nouvelles formes.